Comme chaque année, Pierre Herrmann nous a concocté une aventure hors du commun qui laissera dans nos têtes et dans nos cœurs d’inoubliables souvenirs. Celle-ci se déroulera le 2 juillet prochain. Mais les inscriptions doivent parvenir à Pierre impérativement pour le14 juin 2023 dernier délai.Vous trouverez ci-dessous le lien qui vous permettra d’ouvrir votre feuille inscription.
Après publication de l’information rappelée ci-dessus, Pierre Herrmann s’est emparé de son stylo, ou plutôt son clavier, pour réagir avec la vivacité qu’on lui connaît à cette nouvelle menace contre les élevages amateurs.
Prenez bien vite connaissance du commentaire de Pierre et n’hésitez pas à adresser votre propre commentaire. On sent bien la grosse colère qui gagne notre vice-président. Combien juste est son ressentiment contre les autorités qui, sous couvert de préoccupations sanitaires, s’ingénient à faire peur aux petits éleveurs afin de les décourager de persévérer dans la pratique de leur passion. Comme le dit Pierre, il y a sûrement des méthodes d’élevage, à beaucoup plus grande échelle, qui sont génératrices de dangers plus importants pour la santé humaine et pour l’environnement.
En attendant, il y a fort à craindre pour la survie de nos associations. Comme le précise fort bien Pierre, c’est contre les véritables causes de dangers qu’il faudrait lutter. Mais cela, c’est difficile, semble-t-il.
Un grand merci à Mostafa OULD ELHKIM pour son commentaire. Il nous a envoyé en effet des documents détaillés concernant le sujet qui ne manque pas d’inquiéter nombre d’entre nous. Les éleveurs amateurs n’ont en effet nul besoin de recevoir cette nouvelle pierre dans leur jardin. Ce n’est pas la bonne manière d’apaiser nos inquiétudes ni d’encourager de nouveaux éleveurs à rejoindre nos rangs pour dynamiser nos associations.
Et pourtant c’est une réalité à prendre en compte. Merci donc, encore une fois, à Mostafa. Lisez attentivement les documents. Dans l’adversité, mieux vaut être bien informé que faire l’autruche.
Vous pouvez cliquer sur le lien qui apparaît dans la rubrique « Commentaires » et vous accéderez au texte. Et n’hésitez pas, à votre tour, à nous adresser, en commentaires, vos réflexions ou vos questions.
Si vous cliquez sur le lien ci-dessous vous ouvrirez directement le document.
Encore des nuages dans le ciel des éleveurs amateurs de poules. L’ ARS (Agence de Santé d’Ile de France) a recommandé hier, mercredi 19 avril, de ne pas consommer « les œufs et les produits animaux de production domestique non contrôlée » sur l’ensemble de la région, selon diverses sources journalistiques.
La raison de cette décision s’appuie sur une possible contamination aux polluants organiques persistants. Des enquêtes sur des œufs issus de poulaillers domestiques franciliens auraient révélé une teneur anormale en polluants organiques persistants. Une alerte sur une concentration de dioxines sur des œufs non commercialisés a justifié ces enquêtes qui ont établi un lien entre la proximité des élevages incriminés avec les incinérateurs d’Ivry-sur-Seine, d’Issy-les-Moulineaux et de Saint-Ouen. Cependant certains prélèvements effectués dans des poulaillers situés à plus de trois kilomètres d’un incinérateur ont révélé la présence des polluants dans des proportions élevées.
« Parmi les risques pour la santé liés à la consommation de ces produits, l’ARS recense une « augmentation » des risques de cancer, des « troubles de la fertilité et de la grossesse », ainsi que du diabète et « des effets perturbateurs endocriniens » .
D’où les conseils de prudence de l’ARS. Affaire à suivre.
Thierry DUCHEMIN nous communique le compte-rendu d’une réunion SCAF/Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. On se rend compte que les choses avancent en ce qui concerne la vaccination des volailles contre l’influenza aviaire mais… PAS POUR NOUS, ÉLEVEURS AMATEURS.
Merci à Thierry de nous avoir transmis cette information même si elle ne correspond pas à notre attente.
M’étant entretenu avec Pierre Herrmann, me voici en mesure de vous faire partager ses impressions sur le salon de l’agriculture.
Le salon de l’agriculture s’est tenu Porte de Versailles du 25 février au 5 mars. Il vient donc de fermer ses portes après une dizaine de jours au cours desquels une intense activité s’est déployée. De nombreux visiteurs se sont pressés dans les allées pour admirer, déguster, échanger, réfléchir aux grands problèmes de notre temps dont bon nombre de solutions se trouvent entre les mains des professionnels de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de l’alimentation.
En ce qui concerne l’élevage avicole et cunicole amateur, le stand qui lui était consacré sous la houlette de Thierry DUCHEMIN a connu un vif succès. Pourtant les circonstances n’étaient pas favorables puisqu’il s’est trouvé amputé de toute la gent ailée. A cause de la grippe aviaire, il a été impossible de présenter pigeons et volailles.
Heureusement les visiteurs furent nombreux pour admirer les lapins. Le mercredi 1er mars Gilles GUILLET et Pierre HERRMANN sont venus prêter main forte à Thierry pour assurer un service de surveillance et d’animation. L’un comme l’autre ont apprécié de passer une agréable journée parmi les 248 cages de lagomorphes aux longues oreilles.
Mais soyons plus précis. Les visiteurs qui ont eu la chance d’assister aux exposés de Pierre ont compris que l’espèce des lapins est extrêmement diverse, tant par la texture du pelage que par les couleurs, les masses ou par la longueur des oreilles, voire même leur position droite comme chez le Fauve de Bourgogne ou retombante comme chez le lapin de race « bélier ».
C’est un Fauve de Bourgogne qui a remporté le grand prix du Président de la République cette année. Pierre a estimé que les animaux présentés étaient dans l’ensemble de beaux sujets. Quant à Gilles, il n’a pas chômé non plus au bureau des ventes qui a attiré des amateurs avertis et soucieux d’enrichir leur propre cheptel de bêtes de qualité. Ils ont pu être bien renseignés par les fiches de jugement complétées par messieurs Ménigoz, Gerber, Gaillard, Ehrhardt.
Le clap de fin avec Gérald Dreumont et Jérémie Morin
Désormais nous n’avons plus qu’à attendre et préparer le salon 2024 en espérant que l’influenza aviaire ne nous privera plus des pigeons, des poules et autres canards…
Le 14 février 2023, Georges MACHET a quitté notre monde après avoir lutté contre la maladie. C’est le 20 février prochain qu’auront lieu ses obsèques dans son village natal, à LANGEAIS (37).
Longtemps il a adhéré à la SABG. En 2003 il a été élu au Conseil d’Administration. De 2006 à 2013 il a exercé les fonctions de trésorier.
A sa famille nous présentons nos condoléances émues.
Elle aura lieu le dimanche 2 avril à 9 heures pour les adhérents de la BCVM et à 10 h 30 pour ceux de la SABG. Rendez-vous au Châtelet-en-Brie (77820) au « Maxi Show/Le hameau de Saveteux » 6 Rue des Taufiers.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour en savoir davantage. N’oubliez pas de réserver votre place au repas-spectacle qui suivra en envoyant à Pierre le coupon d’inscription joint.
2023 En ce début d’année nouvelle notre vice-président, Pierre Herrmann, nous adresse ses vœux.
O combien d’éleveurs de notre association Se sont investis en 2022 dans leur élevage en vue de notre exposition ! La grippe aviaire et ses kyrielles d’interdictions ont encore œuvré en 2022 A la grande déception des éleveurs et des organisateurs malheureux. Les contraintes s’accumulent pour dissuader les bonnes volontés Mais il faut garder espoir de jours meilleurs pour les prochaines années. Pour 2023, je vous souhaite, à toutes et à tous, le courage volontariste. Ne restons pas apathiques et unissons-nous pour contrecarrer les écolototalitaristes.
« Notre plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois » (Confucius)
Coup d’œil dans le rétroviseur… 2022… Feuilletons bien vite le grand livre de l’année :
Santé humaine : les diverses mutations du virus de la Covid-19 sont sources de graves préoccupations dans les divers pays du globe.
Santé animale : l’influenza aviaire a encore bien joué avec nos nerfs. Notre exposition annuelle a été supprimée au dernier moment.
Guerre russo-ukrainienne : les belligérants sont les premiers à souffrir du conflit dans leur chair. Mais les conséquences économiques sur les autres pays de la planète sont loin d’être négligeables.
Climat : les températures élevées, voire très élevées, ont été la règle au cours de l’année. Accompagnées de sécheresse, elles impactent les cultures et les éleveurs que nous sommes voient s’élever les prix de la nourriture de leurs bêtes.
Alors que souhaiter pour 2023 ? Il ne sert à rien d’exprimer des vœux qui n’ont aucun impact sur la réalité des choses. Alors je souhaite que tous les adhérents actuels et potentiels de notre association réfléchissent aux moyens de nous adapter aux circonstances. Oui, réfléchissons, proposons, discutons, échangeons. Des idées peuvent surgir pour revoir nos objectifs en fonction des données du moment. Faut-il maintenir notre exposition annuelle telle qu’elle est actuellement ? Ou bien peut-être l’élargir à d’autres aspects de l’agriculture au cas où les volailles demeureraient indésirables ?
Bonne année d’élevage, bonne année de réflexion, bonne année d’échanges. Et vive 2023 !