ERRATUM

L’article concernant la prochaine assemblée générale comporte deux liens. En principe il devrait y en avoir un pour obtenir la feuille de commande de bagues et l’autre la convocation à l’assemblée générale avec l’inscription au repas.

Or je me suis trompé et j’ai mis un lien vers le numéro 127 de notre bulletin, actuellement chez l’imprimeur.

Les adhérents consultant le site auront donc la primeur de ce bulletin. Quant aux autres ils le recevront prochainement par la poste. (Comme tout le monde d’ailleurs même si, à l’avenir, ce ne sera peut-être pas indispensable.) En attendant voici le lien pour obtenir la convocation à l’A.G. :

Mille excuses pour cette étourderie !

Guy

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PROPOSITION DE LOI visant à définir et protéger le patrimoine sensoriel des campagnes françaises.

DERNIERE MINUTE

Le coq Maurice devrait pouvoir continuer à s’égosiller. Les députés ont voté en commission une proposition de loiUDI-Agir visant à protéger le patrimoine sensoriel des campagnes alors que les litiges se multiplient en zone rurale. Ce texte, soutenu par le ministre de la Culture Franck Riester, sera examiné dans l’hémicycle jeudi 30 janvier lors d’une journée dédiée aux propositions du groupe centriste.

En cliquant sur le lien vous pourrez lire le rapport de la commission des affaires culturelles et de l’éducation sur le projet de loi qui sera examiné.

ASSEMBLEE GENERALE 2020

PROCHAINE ASSEMBLEE GENERALE
Elle se tiendra à REAU le 7 mars 2020 à 10 h 30. (9 h pour la BCVM). Venez nombreux ! N’oubliez pas de vous inscrire pour participer au repas dansant. Tous documents nécessaires sont joints au prochain numéro du bulletin.
Vous pouvez également les obtenir en cliquant sur le lien ci-dessous et en les imprimant. Attention ! Date limite d’inscription auprès de Pierre : 27 février 2020. Votes par correspondance  : ils doivent parvenir à Gilles Guillet le 6 mars 2020 au plus tard.
APPEL A CANDIDATURES
Vous vous intéressez à la vie de votre association ? Vous disposez d’un (tout petit) peu de temps libre ? Vous avez des idées plein la tête ? Vous avez envie de rencontrer des copains qui partagent votre passion des animaux ? Alors, pas d’hésitation… Le 7 mars prochain, lors de l’assemblée générale de la SABG, auront lieu les élections de conseillers pour compléter le Conseil d’Administration. Soyez donc candidat ! Adressez-vous à Gilles GUILLET ou à l’un des conseillers qui transmettra pour déclarer votre candidature. NE TARDEZ PAS ! Avant le 27 février ce serait bien.

Nota Bene : A la fiche de commande de bagues est joint également votre bulletin d’adhésion. En outre un tableau est à votre disposition. Vous le remplissez si vous souhaitez faire connaître aux autres les animaux que vous élevez et SI VOUS ACCEPTEZ DE FIGURER SUR LE CATALOGUE PUBLIE SUR CE SITE.

FORTES CHALEURS : précautions à prendre dans nos élevages.

Le réchauffement climatique inquiète à juste titre nombre de nos contemporains. Ses effets sur la vie quotidienne concernent beaucoup de gens. Jardiniers, agriculteurs sont aux premières loges mais beaucoup d’autres actifs ou anciens actifs qui, ayant atteint un âge avancé, souffrent dans leur corps des excès de chaleur. Pour nous, éleveurs, nous constatons des conséquences néfastes sur nos protégés et nous sommes dans l’obligation de trouver des solutions pour leur permettre de sortir saufs et en bonne santé de ces périodes éprouvantes pour tous les organismes.

« COUP DE CHALEUR » et « PERIODE DE CHALEUR »
Le coup de chaleur est une exposition à des températures anormalement élevées mais limitée dans le temps et compensée par des périodes plus fraîches, en particulier la nuit, permettant une certaine récupération. La période de chaleur consiste en une exposition chronique sans période fraîche.  

CONDUITE A TENIR
Dans les grands élevages professionnels des dispositions particulières doivent être observées dès la conception des bâtiments d’élevage. Isolation, orientation, aération, brasseurs d’air et extracteurs, moyens de brumisation… tout doit être prévu dans le détail par ces exploitants qui gèrent des populations importantes d’animaux ce qui augmente encore les risques de mortalité et, en tout cas, peut nuire gravement à la qualité des produits. En ce qui nous concerne, éleveurs amateurs dont les élevages sont plus modestes, nous ne sommes pas pour autant dispensés de nous préoccuper de fournir à nos protégés les conditions de vie capables de leur assurer confort et croissance harmonieuse. Sachant que les volailles recherchent la fraîcheur en se couchant sur le sol on veillera à réduire la quantité de litière pour diminuer la fermentation. En ce qui concerne la nourriture on limitera le dégagement de chaleur dû à la consommation d’aliments en ne distribuant pas les rations juste avant et pendant le coup de chaleur. On attendra que la température ait suffisamment baissé pour réalimenter. Bien sûr on laissera à disposition du cheptel de l’eau fraîche que l’on renouvellera régulièrement. Il peut être utile de recourir à une supplémentation en vitamine C. Autre point important : le statut sanitaire des volailles. En effet les infections bactériennes chroniques rendent les animaux plus sensibles aux accidents de coups de chaleur. Il est donc indispensable d’être encore plus vigilant qu’à l’accoutumée quant à l’état sanitaire de l’élevage.
PARTICULARITES CONCERNANT LE LAPIN  
Dès que la température dépasse 26° le lapin est obligé de lutter. Comment ? En respirant rapidement et en dilatant les vaisseaux de ses oreilles pour éliminer la chaleur latente. Les grandes chaleurs entraînent une acidose métabolique conduisant à la mort. Autres conséquences :
-baisse de la consommation alimentaire (d’où diminution de la lactation, mauvais état général, croissance des jeunes ralentie)
-perturbation de la reproduction (baisse de l’ardeur sexuelle des mâles, moindre qualité du sperme, baisse de la réceptivité des femelles, mises bas perturbées, mort-nés)
Que faire ? D’abord favoriser tout ce qui est de nature à diminuer la température ambiante dans l’habitat du lapin (ombrages, ventilation…) Ensuite stimuler l’appétit autant que possible. Veiller à ce que les animaux puissent s’abreuver en permanence avec une eau fraîche de qualité fréquemment renouvelée. Le vétérinaire peut être amené à prescrire des vasodilatateurs périphériques, des injections d’étiléfrine les jours de mise bas, une couverture d’antibiothérapie à l’automne pour prévenir les accidents sanitaires survenant avec les changements de température et d’humidité.
Guy Couespel— Documents de référence : 1– La France agricole 2– Maladies des volailles (Guérin-Balloy-Villate) 3-Maladies des lapins (Samuel Boucher—Loïc Nouaille)

Nous voici en 2020

Depuis plus d’une semaine déjà nous avons posé le pied sur les chemins de la deuxième décade du XXI° siècle. Les uns avec les autres, comme c’est la coutume, nous avons échangé des vœux. Comme l’an dernier. Comme toutes les années précédentes. Hélas ! Ce n’est pas parce qu’on souhaite les meilleures choses possibles à sa famille, à ses amis, à ses copains, même le plus sincèrement du monde, que nos vœux sont exaucés.

Amis éleveurs ou sympathisants, adhérents de la S.A.B.G. ou non, bien sûr je désire vivement que tout ce que vous voulez vous soit accordé, que tous ceux qui vous sont chers soient protégés, que les couvées et portées de vos animaux préférés soient resplendissantes.

Mais n’ayant pas le pouvoir de garantir la réalisation de ces légitimes attentes, je me contenterai de vous offrir ce mot de Marc-Aurèle, empereur romain et philosophe né en 121 après J.C. et mort en 180, réflexion ancienne qui me semble étonnamment bien adaptée à notre temps.

« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. »

Bonne année 2020 à tous ! Guy