Des éleveurs passionnés de nature, souvent aussi jardiniers, apiculteurs, des amoureux de la vie sous toutes ses formes. Le 10 février 1981 nos prédécesseurs ont fondé cette association selon les principes de la loi de 1901.
Nous poursuivons de notre mieux les buts qu’ils s’étaient assignés et qui figurent dans les statuts :
la défense des intérêts des éleveurs amateurs d’animaux de basse-cour ou d’ornement
l’amélioration et la conservation des animaux de races pures
la participation à des actions pédagogiques en lien avec les écoles pour répondre à la curiosité des enfants et des jeunes dans les domaines de la vie animale, de l’organisation des écosystèmes, de découverte de la richesse des différentes formes de vie, de développement des valeurs de respect de la vie…
Notre siège social est actuellement à la mairie de BRIE-COMTE-ROBERT.
Chaque année nous organisons début novembre une grande exposition dans la salle du Safran de cette ville.
Un aperçu de la variété des animaux qui retiennent toute l’attention des adhérents de la Société Avicole Brie et Gâtinais. Cliquez pour voir les photos.
Comme chaque année, Pierre Herrmann nous a concocté une aventure hors du commun qui laissera dans nos têtes et dans nos cœurs d’inoubliables souvenirs. Celle-ci se déroulera le 2 juillet prochain. Mais les inscriptions doivent parvenir à Pierre impérativement pour le14 juin 2023 dernier délai.Vous trouverez ci-dessous le lien qui vous permettra d’ouvrir votre feuille inscription.
Certains d’entre vous m’ont fait part de difficultés pour ouvrir le commentaire de Pierre. Vous le trouverez donc ci-dessous in extenso.
Des nuages dans le ciel des éleveurs amateurs ,certes oui….! Mais l’ARS occulte sciemment les cyclones de l’élevage industriel. On crie » haro sur le baudet » éleveur amateur pour le culpabiliser et l’obliger à cesser son élevage. Encore une fois les procédés de peur sont les mêmes et qui plus est pour favoriser ouvertement la production d’oeufs industriels en affirmant qu’ils sont contrôlés. Mais l’oeuf est le dernier maillon de la chaîne. Est ce que l’ ARS s’interroge sur les formes d’élevage concentrationnaire de 33000 volailles, soit 22 poulets au m2 entassés dans un espace clos dans lequel ces animaux ne voient ni le jour, ni la nature rassasiés d’antibiotiques qui créent une antibiorésistance chez l’humain. De plus ces volailles sont contaminées par des produits phytosanitaires utilisés pour combattre les bactéries au sein et à l’extérieur des batteries avec comme partenaire Bayer-Mosanto. Alors de grâce traitons les causes et il faut raison gardé. Il paraît aberrant que les incinérateurs de l’Ile de France rejette de la dioxine que l’on peut en tout état de cause respirer même si l’on ne consomme que des oeufs contrôlés par les bien pensant. Alors si l’on veut diminuer les risques de cancer avant de s’occuper des oeufs , on commence par les incinérateurs. A bon entendeur salut….! Pierre HERRMANN
Après publication de l’information rappelée ci-dessus, Pierre Herrmann s’est emparé de son stylo, ou plutôt son clavier, pour réagir avec la vivacité qu’on lui connaît à cette nouvelle menace contre les élevages amateurs.
Prenez bien vite connaissance du commentaire de Pierre et n’hésitez pas à adresser votre propre commentaire. On sent bien la grosse colère qui gagne notre vice-président. Combien juste est son ressentiment contre les autorités qui, sous couvert de préoccupations sanitaires, s’ingénient à faire peur aux petits éleveurs afin de les décourager de persévérer dans la pratique de leur passion. Comme le dit Pierre, il y a sûrement des méthodes d’élevage, à beaucoup plus grande échelle, qui sont génératrices de dangers plus importants pour la santé humaine et pour l’environnement.
En attendant, il y a fort à craindre pour la survie de nos associations. Comme le précise fort bien Pierre, c’est contre les véritables causes de dangers qu’il faudrait lutter. Mais cela, c’est difficile, semble-t-il.
Un grand merci à Mostafa OULD ELHKIM pour son commentaire. Il nous a envoyé en effet des documents détaillés concernant le sujet qui ne manque pas d’inquiéter nombre d’entre nous. Les éleveurs amateurs n’ont en effet nul besoin de recevoir cette nouvelle pierre dans leur jardin. Ce n’est pas la bonne manière d’apaiser nos inquiétudes ni d’encourager de nouveaux éleveurs à rejoindre nos rangs pour dynamiser nos associations.
Et pourtant c’est une réalité à prendre en compte. Merci donc, encore une fois, à Mostafa. Lisez attentivement les documents. Dans l’adversité, mieux vaut être bien informé que faire l’autruche.
Vous pouvez cliquer sur le lien qui apparaît dans la rubrique « Commentaires » et vous accéderez au texte. Et n’hésitez pas, à votre tour, à nous adresser, en commentaires, vos réflexions ou vos questions.
Si vous cliquez sur le lien ci-dessous vous ouvrirez directement le document.
Encore des nuages dans le ciel des éleveurs amateurs de poules. L’ ARS (Agence de Santé d’Ile de France) a recommandé hier, mercredi 19 avril, de ne pas consommer « les œufs et les produits animaux de production domestique non contrôlée » sur l’ensemble de la région, selon diverses sources journalistiques.
La raison de cette décision s’appuie sur une possible contamination aux polluants organiques persistants. Des enquêtes sur des œufs issus de poulaillers domestiques franciliens auraient révélé une teneur anormale en polluants organiques persistants. Une alerte sur une concentration de dioxines sur des œufs non commercialisés a justifié ces enquêtes qui ont établi un lien entre la proximité des élevages incriminés avec les incinérateurs d’Ivry-sur-Seine, d’Issy-les-Moulineaux et de Saint-Ouen. Cependant certains prélèvements effectués dans des poulaillers situés à plus de trois kilomètres d’un incinérateur ont révélé la présence des polluants dans des proportions élevées.
« Parmi les risques pour la santé liés à la consommation de ces produits, l’ARS recense une « augmentation » des risques de cancer, des « troubles de la fertilité et de la grossesse », ainsi que du diabète et « des effets perturbateurs endocriniens » .
D’où les conseils de prudence de l’ARS. Affaire à suivre.
Thierry DUCHEMIN nous communique le compte-rendu d’une réunion SCAF/Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. On se rend compte que les choses avancent en ce qui concerne la vaccination des volailles contre l’influenza aviaire mais… PAS POUR NOUS, ÉLEVEURS AMATEURS.
Merci à Thierry de nous avoir transmis cette information même si elle ne correspond pas à notre attente.
Notre vice-président, Pierre, toujours à l’affût des bonnes choses pour satisfaire les adhérents, a mis les petits plats dans les grands. Apéritif avec plateaux de gourmandises circulant entre les invités, discours de bienvenu, repas autour de l’agneau pascal rôti ( avec quelques jours d’avance), orchestre magistral qui a fait puissamment vibrer tympans, marteaux, enclumes, étriers… Pas de souci les sons sont bien parvenus aux cerveaux des convives !
Et voici le discours de bienvenue rédigé et prononcé par Pierre. (Cliquez sur le lien)
M’étant entretenu avec Pierre Herrmann, me voici en mesure de vous faire partager ses impressions sur le salon de l’agriculture.
Le salon de l’agriculture s’est tenu Porte de Versailles du 25 février au 5 mars. Il vient donc de fermer ses portes après une dizaine de jours au cours desquels une intense activité s’est déployée. De nombreux visiteurs se sont pressés dans les allées pour admirer, déguster, échanger, réfléchir aux grands problèmes de notre temps dont bon nombre de solutions se trouvent entre les mains des professionnels de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de l’alimentation.
En ce qui concerne l’élevage avicole et cunicole amateur, le stand qui lui était consacré sous la houlette de Thierry DUCHEMIN a connu un vif succès. Pourtant les circonstances n’étaient pas favorables puisqu’il s’est trouvé amputé de toute la gent ailée. A cause de la grippe aviaire, il a été impossible de présenter pigeons et volailles.
Heureusement les visiteurs furent nombreux pour admirer les lapins. Le mercredi 1er mars Gilles GUILLET et Pierre HERRMANN sont venus prêter main forte à Thierry pour assurer un service de surveillance et d’animation. L’un comme l’autre ont apprécié de passer une agréable journée parmi les 248 cages de lagomorphes aux longues oreilles.
Mais soyons plus précis. Les visiteurs qui ont eu la chance d’assister aux exposés de Pierre ont compris que l’espèce des lapins est extrêmement diverse, tant par la texture du pelage que par les couleurs, les masses ou par la longueur des oreilles, voire même leur position droite comme chez le Fauve de Bourgogne ou retombante comme chez le lapin de race « bélier ».
C’est un Fauve de Bourgogne qui a remporté le grand prix du Président de la République cette année. Pierre a estimé que les animaux présentés étaient dans l’ensemble de beaux sujets. Quant à Gilles, il n’a pas chômé non plus au bureau des ventes qui a attiré des amateurs avertis et soucieux d’enrichir leur propre cheptel de bêtes de qualité. Ils ont pu être bien renseignés par les fiches de jugement complétées par messieurs Ménigoz, Gerber, Gaillard, Ehrhardt.
Le clap de fin avec Gérald Dreumont et Jérémie Morin
Désormais nous n’avons plus qu’à attendre et préparer le salon 2024 en espérant que l’influenza aviaire ne nous privera plus des pigeons, des poules et autres canards…
Jeudi 23 mars 2023 : c’est le dernier jour pour envoyer à Pierrevotre petite fiche d’inscription au repas accompagnée de votre chèque.
Ne laissez donc pas notre ami Pierre dans l’incertitude. Envoyez lui dare-dare votre petit bulletin d’inscription. Éventuellement vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous pour imprimer le bon d’inscription.